Description

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M 03926
– 26H –
F:
11,90
– RD
HORS-SÉRIE
RaiL
PASSION
HORS-SÉRIE – JUIN 2015 / LES AUTORAILS(2
partie)
HORS-SÉRIEJUIN 2015
FRANCE / 11,90
BELGIQUE / 13,90
LUXEMBOURG / 13,40
SUISSE / 23FS
ESPAGNE/ 13,90

HORS-SÉRIEJUIN 2015

FRANCE / 11,90

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Les trains de la victoire
Le rôle du chemin de fer dans la libération
de la France 1944-1945
Vincent Cuny
En vente par correspondance à:
La Vie du Rail
BP 30657 – 59061 ROUBAIX CEDEX 1
230mm x 240mm.
160 pages.
Réf.: 110 327
Le rôle des chemins de fer français lors de la Seconde
Guerre mondiale reste aujourd’hui encore assez méconnu.
L’histoire est pourtant riche et les trains ont pris part,
à leur manière, au conflit.
Lorsque le pays est occupé en 1940, les Allemands n’ont pas
oublié de réclamer le contrôle du réseau ferré français avec,
bien évidemment, la réquisition des machines. Cette force
de matériel leur a été d’une grande aide et participait
largement à leur progression dans le territoire.
Mais les cheminots français se sont organisés comme
ils le pouvaient pour résister. Lors du débarquement,
leur aide a été précieuse en amont et en aval.
L’auteur s’intéresse aussi à la remise «en route»
du matériel en France puisque l’aide apportée par les Alliés
n’a pas été facile à gérer notamment à cause des difficultés
de communication entre les Français et les Alliés.
Ce livre retrace l’histoire du chemin de fer et de ceux
qui l’ont accompagné à cette époque.
29

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Les Cheminots dans la Résistance
Par Cécile Hochard
Que savons-nous, aujourd’hui, 70 ans après la fin de la
Deuxième Guerre mondiale, des cheminots dans cette
Résistance? Ce livre va au-delà des images toutes faites
associant rail et Résistance. Il montre comment des agents
de la SNCF sont entrés en Résistance et pourquoi. Cécile
Hochard est docteur en histoire, et fut chargée de mission
à la Fondation de la Résistance en 2003-2004
230 x 240mm. 216 pages.
Réf.: 110 254
NOUVEAUTÉ
DES CARAVELLES
AUX RÉGIOLIS,
TROIS GÉNÉRATIONS
D’AUTORAILS
PAR BERNARD COLLARDEY
Le Régiolis B 84513, en tête d’une UM
pour Laon, attend le départ à Paris-Nord
(6 janvier 2015 ; J.-C. Mons).
ans le hors-série publié à l’automne
2014,
Rail Passion
a fait le tour des
séries d’autorails commandés par les
anciennes compagnies, ayant formé une
cavalerie hétéroclite, datant de l’entre-
deux-guerres, où les constructeurs débor-
daient d’ingéniosité. Après le conflit 1939-
1945 qui a appauvri le parc, a succédé sous
l’égide de la SNCF la catégorie des engins
unifiés de puissance croissante jusqu’aux
mythiques X 2800 à la carrière vibrion-
nante. Ayant largement contribué à chasser
la traction vapeur associée à des rames
de voitures désuètes, tous ces engins ont
permis une amélioration bienvenue des
horaires et des conditions de déplacements.
Cette fois,
pour clore le panorama consacré
aux autorails du parc de la SNCF, nous nous
pencherons, dans l’ordre de leur apparition
en 1963, sur la grande famille des Cara-
velles, désignés EAD (Éléments Automoteurs
Doubles) du type U 425, se déclinant au fil
des ans en cinq sous-séries différentes avec
des améliorations, puis sur le retour d’ap-
pareils monocaisses X 2100, 2200. Entre-
temps est venue s’intercaler la famille des
Turbotrains ETG et RTG, les premiers à
atteindre 160km/h et révolutionné de nom-
breuses dessertes radiales et transversales.
Après une césure d’une dizaine d’années
sans livraisons,
le renouvellement indis-
pensable des autorails de la gamme unifiée
devenus âgés a été poursuivi à la fin de la
décennie 1990, grâce à l’apparition de
séries dites TER plus élaborées au plan du
confort, avec introduction de la climatisa-
tion et la démocratisation de la vitesse por-
tée à 140 et même 160km/h, cas des X
72500, 73500, 73900 suivis de la famille
des AGC avec ses versions thermique
X76500 et hybride B 81500, 82500 très
réussies. Enfin les derniers venus sur la
scène ferroviaire depuis quelques mois,
constitués par les très évolués Régiolis
bimodes à forte capacité sont bien enten-
dus évoqués, car ils vont participer active-
ment au développement et à la qualité des
liaisons régionales.
En route donc pour un survol s’étendant
sur près de 50ans,
où l’évolution continue
des techniques a contribué à améliorer le
service voyageurs sur le territoire hexago-
nal à la fois sur des liaisons intervilles, sur
les lignes rurales mais aussi pour les trans-
ports de proximité autour des grands cen-
tres où la démographie en hausse multiplie
la mobilité des habitants.